a, pour sa part, estimé particulièrement intéressant de rapprocher les deux informations selon lesquelles, d'une part, la productivité des grands ports français était deux fois plus faible que celle d'Anvers et de Hambourg et, d'autre part, le fait que la moitié des marchandises importées en France par la voie maritime avait transité par des ports étrangers.
Il s'est aussi interrogé sur la capacité de « l'hinterland » des ports français à accueillir le doublement ou le triplement du trafic espéré par certains, évoquant à ce titre la question du contournement du grand Paris ou des ports secs, tels que celui de Chalindrey. Tout en regrettant l'insuffisante participation de la SNCF au développement de ce dernier site, il s'est demandé si les ports secs allaient désormais s'engager dans des politiques de contractualisation avec les ports maritimes.