a tenu à préciser que la richesse en ressources naturelles de la région normande ne se traduisait pas en termes de revenus. Soulignant que les questions liées à la prime à l'herbe et aux AO ne concernaient pas que les régions de montagne, et appelant à une défense active des appellations françaises au moyen de ces primes, il a fait observer que les habitudes de consommation, et non le seul niveau des prix, avaient un rôle majeur dans la détermination du pouvoir d'achat.