a confirmé que les Français de Côte d'Ivoire ne faisaient pas pour l'heure l'objet d'attaques personnelles directes. Il a cependant fait part de leur inquiétude quant à la diffusion de l'action des jeunes patriotes, non plus seulement à Abidjan, mais aussi dans d'autres villes du pays, et ce de façon concertée. Il a considéré que la dissolution de l'Assemblée nationale plaçait le Premier ministre ivoirien dans une position difficile, à l'avantage du Président Gbagbo. Il a enfin estimé que le rôle de l'armée ivoirienne était confus et ambigu, en particulier, à l'égard des « jeunes patriotes ».