évoquant les péripéties de l'acheminement, pour désamiantage, du porte-avions Clemenceau en Inde, a exprimé sa préférence pour un démantèlement de ce bâtiment dans un chantier naval français ou européen. Elle a souhaité savoir quelle quantité d'amiante restait dans le bâtiment et quel était l'état d'avancement des procédures suscitées par des organisations non gouvernementales. Elle s'est interrogée sur le point de savoir si d'autres bâtiments de guerre étaient susceptibles de poser le même problème de désamiantage.