a alors cité l'exemple de la formation de cuisiniers dans le Languedoc-Roussillon, où un besoin de 300 professionnels a été identifié il y a deux ans, une seule personne se présentant effectivement à la formation, proposée initialement à cent chômeurs.
Il a précisé que la VAE concernait différents partenaires : ANPE, régions, Unedic (celle-ci ne finançant que les frais résiduels) et a confirmé que le démarrage de cet instrument restait assez lent (40 millions d'euros seulement dépensés en 2006). Il a imputé cette situation au fait que les jurys se réunissent peu et que le système n'est pas assez adapté aux chômeurs.