Lorsqu'on a commencé à développer nos partenariats pour bâtir la filière du véhicule électrique, nous avons d'abord contacté Valeo qui nous a opposé une fin de non-recevoir. En réalité, Valeo manquait de conviction en faveur de ce projet et n'a pas souhaité faire les investissements nécessaires. C'est une des raisons qui explique que la filière ne soit pas très présente en France jusqu'à présent. Souhaitons au moins que pour la deuxième génération, la France sera au rendez-vous.