La France a fait le choix d'un cadre juridique clair : les quotas sont des biens meubles. En revanche, il faut faire face à une hétérogénéité de définitions sur le territoire de l'Union. Ainsi, la Roumanie a considéré qu'il s'agissait d'instruments financiers. Comme je vous l'ai indiqué et comme cela a été expliqué dans mon rapport, une définition sui generis recueille ma préférence.