Je précise que le crime n'est pas abstrait et que les criminels sont bien des personnes physiques. La question se pose donc en termes d'efficacité des poursuites, la cybercriminalité touchant tous les domaines. Il faut toutefois noter que le marché des quotas présente un avantage qui est l'identification de chaque droit d'émission par un numéro de série, ce qui n'est pas le cas des titres au porteur.