Lui répondant, M. Jean Bizet a fait valoir qu'il s'agissait d'un scénario de stabilisation à un niveau « relativement bas » par rapport à ce que serait l'évolution des concentrations de gaz à effet, si rien n'était fait.
Il a souligné que cet objectif nécessite d'adopter des mesures dès maintenant et qu'il tient compte des taux de croissance prévisibles des pays émergents comme la Chine et l'Inde, émetteurs importants de gaz à effet de serre. Il a considéré enfin qu'il fallait proposer des objectifs « acceptables » sur le plan économique et social.