insistant sur la mauvaise qualité des dessertes continentales et sur l'hégémonie du transport routier, a regretté que le projet de loi n'aborde pas cette question essentielle. En outre, il a déploré l'absence de disposition dans ce texte visant à développer le transport fluviomaritime, handicapé par l'obligation imposée, par les ports autonomes, aux entreprises spécialisées de disposer de plusieurs capitaines, au cours d'un même trajet, selon la nature de la navigation. Il a conclu en indiquant que l'essor du commerce des céréales françaises dans le bassin méditerranéen avait été rendu possible grâce à ce mode de transport moderne.