après avoir déclaré partager l'essentiel des observations de M. Charles Josselin, a indiqué que les entreprises de manutention souhaitaient maîtriser toute la chaîne de commandement. Il a précisé que le port d'Anvers, grâce à des droits de port compétitifs, récupérait une partie des impôts générés par l'activité portuaire, pour ensuite financer de nouveaux investissements. Il a en revanche considéré que les ports français demeuraient très bien placés géographiquement, à l'instar du port du Havre, premier grand port européen « touché » par les navires en provenance de l'Atlantique.