Nous avons constaté que nous pouvions avoir des positions différentes. Mais, si je suis garante des intérêts de l’État au poste que j’occupe, pour autant je n’oublie pas d’où je viens et où je vais.
Je remercie enfin les présidents successifs, sous la conduite desquels nos débats se sont tenus sans heurt violent. Quelques hésitations ont été notées, mais nous n’avons eu recours à aucun moment au scrutin public, il faut le remarquer, car ce n’est pas toujours le cas.
Mais le marathon continue : rendez-vous la semaine prochaine pour le projet de loi de finances rectificative !