L'exportation, c'est le futur de l'industrie, mais cela implique aussi qu'elle soit délocalisable. Or, notre entreprise fait 90 % de son chiffre d'affaire à l'exportation. Si nous avions une filiale en Belgique, nous pourrions, par le jeu des cessions, y transférer notre valeur-ajoutée et donc ne plus payer de CET. La taxe professionnelle était un très mauvais impôt.