Relisez les historiens français du XIXe siècle ou du XXe siècle. Ces derniers sont eux-mêmes très divisés dans leur manière d’appréhender la montée du nazisme, les réalités de la guerre de 14-18 ou de la Seconde Guerre mondiale.
Laissons les historiens travailler, analyser, réfléchir, approfondir et se livrer à leurs recherches. Mais ne les obligeons pas à prendre une responsabilité qui incombe aux États. Sinon, les différentes écoles historiques, qui s’opposent souvent – quoi de plus normal ? –, ne décideront jamais de rien ! Les historiens vous diront qu’ils apportent les faits et que c’est à nous, et non à eux, de les qualifier.