Il y a, bien sûr, le conflit israélo-arabe, qui n’a aucunement perdu de son intensité.
Il y a les printemps arabes, qui ont été des moments heureux, qui ont eu pour conséquence des progrès en termes de liberté et de démocratie, mais qui, dans l’actuelle phase de transition, ont débouché sur une situation d’incertitude majeure. Je pense, en particulier, à l’Égypte, mais aussi à la Syrie, qui est au bord de la guerre civile.