On connaît la suite : 33 000 suppressions d’emplois après la nationalisation de la sidérurgie.
Pendant ces années terribles, ni lui ni aucun de ses ministres ne s’est rendu sur un site sidérurgique, se contentant de nommer préfet délégué un syndicaliste, Jacques Chérèque, pour « traiter » les sidérurgistes.
Puis, sous le gouvernement Jospin, Gandrange a été vendu à Mittal, avant que celui-ci n’avale tout le groupe Arcelor.