Il a dit qu’il ferait tout son possible pour éviter la fermeture de l’aciérie, sinon soutenir un plan de reprise ou, à défaut de repreneur, des mesures de compensation. Celles-ci se concrétisent : centres de formation d’apprentis, Fonds lorrain des matériaux, centre de fabrication de poutres, investissements dans le laminoir... Surtout, Mittal s’est engagé à conforter la filière fonte et l’État a apporté son soutien au projet ULCOS de captage et de stockage de CO2, la sidérurgie du troisième millénaire.