Par ailleurs, le Président de la République française, au mois d’octobre 2011, à l’occasion de sa visite à Erevan et à Bakou, où je l’ai accompagné, les a rappelés aux présidents Aliev et Sargsian.
Malheureusement, les deux parties n’ont pas encore agréé ces principes. La France, amie de ces deux pays, souhaite les aider à trouver une solution à ce conflit.
(Très bien ! sur les travées de l'UMP.) Ce point de vue est d’ailleurs partagé par les présidents de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan, qui ont exprimé le 23 janvier dernier l’espoir que la Russie, les États-Unis et la France, continueront, en tant que coprésidents du groupe de Minsk, à jouer un rôle actif dans la résolution du conflit, jusqu’à ce que nous parvenions à la paix.