Franchement, c’est le prolétariat d’aujourd’hui, confronté à la précarité ! En outre, chargés de contrôler les gens, ces agents se font plus souvent engueuler que remercier ! Il est inadmissible de ne pas tenir compte de leurs conditions de vie et de leurs conditions de travail.
Tout à l’heure, nous avons expliqué que nous comprenions parfaitement la gêne, les embêtements que peuvent supporter les usagers qui se retrouvent bloqués dans un aéroport. En revanche, aucun d’entre vous, à aucun moment, n’a eu un mot pour ces agents de sécurité qui ont déclenché un mouvement de grève pour dénoncer leurs conditions de travail déplorables. On voit bien de quel côté vous penchez !