Nous voyons bien aujourd’hui qu’il s’agissait d’une faute grave.
Néanmoins, nous nous félicitons du rôle central que la France joue dans la lutte contre les exactions menées par un régime devenu fou et nous espérons que les Syriens, quelles que soient leur confession ou leur position sociale, se retrouvent autour d’un projet politique empreint de liberté, de justice et de fraternité. §