Au moment de conclure ce débat, je me réjouis que les commissions des affaires étrangères de l’Assemblée nationale et du Sénat, au terme d’un dialogue avec le Gouvernement, soient parvenues à trouver un accord sur ce texte dont j’ai la faiblesse de penser qu’il est important et nécessaire.
Notre collègue Françoise Laborde a mis en doute l’opportunité de cette réforme en l’absence de tout moyen. Elle est finalement la meilleure disciple de l’humoriste Alfred Jarry, qui disait : « Pourquoi remettre au lendemain ce qu’on peut faire après-demain ? »