Et puis, le total de « l’argent culturel », si vous me permettez cette expression, s’élève à 350 millions d’euros, soit beaucoup plus que les crédits des instituts Cervantès et Goethe, mais moins, je l’admets, que le British Council. Ce dernier est en effet plus riche, mais il est aussi beaucoup plus tourné vers le profit, et ce pour une raison très simple : on apprend beaucoup plus l’anglais que le français.