Je tiens à mon tour à vous remercier : notre travail s'annonce passionnant. Je me souviens des débuts de mon mandat parlementaire : nous avions la chance de travailler moins dans l'urgence, les décrets étaient déjà prêts ou en préparation au moment de l'examen de la loi ; nous, parlementaires, nous pouvions échanger avec les membres des Gouvernements et leurs cabinets sur l'accompagnement des textes votés. S'en inspirer serait une excellente chose ! Il s'agit en effet de restaurer une pleine confiance, en accomplissant un travail de meilleure qualité. Il n'est pas possible d'entendre que les rapports que nous demandons au Gouvernement sont trop nombreux et ne servent à rien. Ce n'est pas vrai ! Si nous les demandons, c'est que nous les estimons nécessaires ! Oui, il en va de la confiance de nos concitoyens.
Nous imaginons ce que vont nous dire ceux que nous allons consulter de l'application, au niveau national, comme dans les départements, de la loi sur le handicap sur laquelle nous allons travailler. Pour démontrer que notre travail est indispensable et utile, nous devons faire en sorte que la volonté politique se traduise concrètement dans la vie quotidienne. Tel est notre rôle et c'est une très bonne chose.