L'amendement n° 1 tend à éviter que la programmation établie ne soit modifiable en permanence.
L'amendement n°1 est adopté.
La réalisation des exigences étant à la seule charge des États membres, l'amendement n° 2 dispose que toute adaptation ne peut se faire qu'en partant de leur avis. La Commission européenne paiera 10 %, les États membres 90 % : qui paye le plus contrôle le plus.
L'amendement n° 2 est adopté.
L'amendement n° 3 relève du même esprit : ne faisons pas de chèque en blanc à la Commission européenne.