En effet, l'engagement de l'Algérie dans la solution de la crise malienne est indispensable, même si les Touaregs ont été déçus du rôle restreint joué par ce pays dans l'application des accords de 1996. La France doit également se montrer présente pour aider, particulièrement pour assurer le déroulement des futures élections présidentielles, conformément au calendrier initial, mais pas en première ligne.