Nous l'avions demandé dès le départ. Les sociétés savantes estiment qu'on ne peut pas imposer une façon de faire aux chirurgiens ni un tarif unique. Seul le principe de tact et de mesure a été rappelé. Aux yeux des chirurgiens, tout encadrement de la prise en charge est impossible.
La publicité des bonnes pratiques est impossible puisque toute forme de publicité est interdite. Nous avons donc proposé une labellisation spécifique pour que les victimes puissent s'adresser à ceux qui adhèrent à un cahier des charges mais seule une dizaine de chirurgiens a accepté d'y adhérer.