Il porte sur l'accueil et le suivi des victimes. Car il n'y a pas qu'une question de tarif : certains chirurgiens proposaient une intervention à 1 600 euros mais dans des conditions déplorables, par exemple en ambulatoire, avec des anesthésies locales pour limiter le coût. C'est aberrant. La gratuité devait également s'appliquer au suivi des victimes.