Murielle Ajello, présidente du mouvement de défense des femmes porteuses d'implants et de prothèses (MDFPIP) :
Reste la question du financement de la réimplantation. Certaines femmes conservent les prothèses, faute de pouvoir les faire remplacer. En outre, des pathologies connexes apparaissent, dont certaines sont communes à plusieurs victimes.