En effet, nous avons finalement choisi de cibler les dispositifs médicaux implantables et les interventions à visée esthétique, comme les injections de toxine botulique ou le blanchiment des dents. Il faudrait couvrir l'autorisation, le contrôle préalable, l'alerte et la prise en charge. Quelque 500 000 femmes portent des prothèses mammaires ; nous manquons de données sur les interventions à visée esthétique.