Devant la gravité de cas auxquels nous sommes confrontés sur le terrain et qui concerne, entre autre, des jeunes, je suis partisan de ne pas trancher le débat dans le cadre très contraint de l'examen de ce texte. La constitution d'un groupe de travail traitant du sujet me semble la solution la plus sage. Mais sur le fond, ne nous y trompons pas, les banques sont les principales responsables de cette situation, notamment au travers des organismes de crédits spécialisés créés par chacune d'entre elles.