Ce sont plutôt des actes de médecine esthétique qui sont pratiqués en cabinet car pour la chirurgie il faut un plateau technique, notamment pour l'anesthésie. Les praticiens ont donc souvent une activité dans une clinique classique, où ils opèrent, voire dans certains établissements publics.
De plus, comme ces actes ne sont pas déclarés à l'assurance maladie, on se situe plutôt dans le champ de compétence de la direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF). C'est pourquoi je distingue la chirurgie esthétique, pour laquelle il existe un cursus universitaire complet, de la médecine esthétique.