Lorsque nous avions visité, lors d'un précédent déplacement en Afghanistan avec le président M. Jean-Louis Carrère, un centre de formation de l'armée afghane, je m'étais interrogé sur les risques d'infiltration parmi les militaires afghans de talibans, et on m'avait répondu à l'époque qu'il y avait effectivement des infiltrés mais que c'était un risque à courir.