Je m'interroge sur le traité d'amitié et de coopération franco-afghan. A la suite de la mort de nos soldats, cet accord sera-t-il modifié, voire remis en cause ?
Les difficultés rencontrées par l'armée française en matière de formation des soldats afghans me rappellent les difficultés que nous avons rencontrées en Algérie, à propos de la formation des supplétifs algériens.
Lors d'une guerre insurrectionnelle, on est souvent confronté à ce type de difficultés, car les insurgés n'hésitent pas à essayer d'infiltrer les troupes régulières.