Une première remarque, méthodologique. Vous faites allusion au document du 5 avril présenté par un candidat à la présidentielle, Nicolas Sarkozy. Notre rôle n'est pas de présenter un document de campagne : nous sommes ici pour commenter le programme de stabilité à transmettre à Bruxelles. Il est vrai que ce candidat se projette à 2017 et finance 9,5 milliards de dépenses supplémentaires par rapport à l'effort prévu dans le programme de stabilité.