Notre système n'est pas si mauvais, Le préfet exprime ses besoins en fonction de ses analyses ; à nous de lui fournir ce qu'il lui faut, telle est notre responsabilité. Nous pouvons réagir très vite pour monter en puissance. Nous avons six permanents, un officier supérieur est constamment de permanence. Pour ma part, j'habite tout près du ministère, et si on m'appelle, j'y vais, et je ne suis d'ailleurs pas seul. On double les effectifs dans le quart d'heure, et on peut monter à cinquante personnes dans l'heure.
J'ajoute que notre culture est mélangée : nous avons des sapeurs-pompiers civils, de la BSPP, des sapeurs sauveteurs militaires qui travaillent main dans la main.