Les critiques sont sans doute moins fréquentes aujourd'hui du fait de l'amélioration de la qualité des prévisions.
Quant aux progrès possibles, indépendamment de la poursuite de l'amélioration de nos propres prévisions, je crois qu'il convient en premier lieu de faire oeuvre de pédagogie surtout si l'on entre dans une période où les évènements météorologiques sont appelés à être plus fréquents. Je crois aussi qu'il conviendrait de diffuser les bonnes pratiques en termes de gestion des risques à l'échelle locale, l'exemple de la Seine-et-Marne étant très intéressant et notre service d'alerte par SMS constituant un premier essai sans doute à poursuivre.
Enfin, je crois au développement de la démarche probabiliste, sur lequel insiste notre contrat d'objectifs avec l'Etat, qui pourra aussi contribuer aux efforts de pédagogie.