Des événements aussi intenses que ceux de 2010 et 2011 entraînent des désordres, de l'érosion... Quel que soit le type d'agriculture, les dégâts sont inévitables. La seule chose que l'on puisse faire, dans un cas comme celui d'Anduze, dans le Gard, où sont tombés 700 millimètres en une journée en 2005, c'est sauver des vies humaines grâce à la prévision.