Il y a deux types de situations : celles qu'on connaît, pour lesquelles il existe des procédures standardisées, et des situations inouïes, où l'on se débrouille comme on peut.
Vous avez vécu les deux situations. La première seule, sans téléphone, sans pompier ou presque, vous avez fait en allant du SDIS, au Salamandrier et à l'Ecole d'artillerie. Il faut donc se préparer à l'imprévisible.
Ce n'est pas en multipliant les précautions que nous réglerons tous les problèmes. Ne peut-on imaginer des dispositifs d'alerte, avec des réseaux parallèles, permettant d'avertir les acteurs de terrain en même temps que les autorités ?