Pour que les choses se passent le moins mal possible, il faut avoir des gens préparés, fonctionnaires de l'État, secours, élus, qu'il faut aussi sensibiliser. Il faut avoir les bons réflexes. Aujourd'hui, on fait des plans de secours. Les élus qui ont connu des crises ont réagi. Il y a sans doute encore quelque chose à faire, par exemple à l'éducation nationale. En novembre, on a observé un début de panique : des directeurs d'établissement m'ont appelée pour savoir ce qu'ils devaient faire. Il y a là un travail à faire pour savoir comment réagir en situation.