Bien que je vienne du Puy-en-Velay, où l'on fait dans la dentelle, j'estime que plus de simplicité, y compris dans l'expression, ne serait pas malvenue. Nous ne sommes pas assez concrets. Ni assez courts. La presse la plus lue est la plus synthétique. Au-delà de la demi-page, le lecteur se lasse. Imaginez ce qu'il peut en être face à nos textes de loi ou à nos compte rendus d'auditions... Et pourquoi tous ces mots anglais, week-end, sandwich, que l'on pourrait avantageusement remplacer par des images bien françaises ? Il y a deux HEC, l'école connue sous ce nom, et celle des hautes études communales, une formation tout au long de la vie souvent plus proche de la réalité que vivent les Français. Il faut être plus concrets : plus on apporte de précisions, plus il faut de dictionnaires.