Le processus est totalement transparent. Le modèle économique de la pêche tropicale et guyanaise ne pourrait pas perdurer avec des marins qui seraient rémunérés selon les normes sociales aujourd'hui applicables en métropole. Le minimum social appliqué dans le cadre des accords de pêche avec les pays tiers est celui de la marine marchande, c'est-à-dire 600 dollars par mois.