Je voudrais rappeler que nous savons tous où sont les contraintes européennes. Notre rôle est de changer de point de vue, afin que l'outre-mer ne soit plus assimilée aux règles générales. Notre objectif est de contribuer au développement de l'outre-mer, dont vous avez tous souligné la diversité. Cela suppose que les autorités françaises affirment avec vigueur un discours plus particulariste et ne cherchent pas à fondre les schémas de l'outre-mer dans des schémas généraux. C'est dans ce sens que doit aller le travail de la délégation. On doit être certain de la défense de ces particularismes, si on est réellement attaché à l'outre-mer, dont la présence partout dans le monde est une richesse pour notre pays.