393 hectares, sur trois fermes, avec des chantiers en commun avec d'autres exploitations.
Il y a trente ans, la perte de rentabilité des exploitations incitait également à faire des économies. Nous avons donc créé un club, avec d'autres agriculteurs, pour réduire l'utilisation des engrais et des pesticides. Ces démarches étaient intéressantes sur le plan économique. En 2010, dans un système d'agriculture intensive, par rapport à notre analyse de groupe portant sur 151 exploitations, nous arrivions à moins de 47 % d'utilisation de pesticides. En 2009, nous étions à moins 30 % seulement, mais des facteurs climatiques interféraient.
Par rapport à nos collègues, nous utilisons 16 à 18 % de pesticides en moins pour la pomme de terre, mais jusqu'à 50 % de moins pour les céréales.