Madame la sénatrice, l'exemple que vous avez cité prouve que vous connaissez parfaitement le dossier.
Ce que j'appelle la délocalisation de bénéfices - une formulation peu conforme à l'orthodoxie du droit fiscal, mais qui me paraît bien refléter la réalité - est intrinsèquement un sujet très compliqué. Il n'y a pas de solution miracle, d'autant qu'il s'agit d'un « jeu à somme nulle » : ce qui se retrouve dans un pays manque à un autre !
On ne parle pas ici du Panama, mais de pays voisins.