Il n'y a eu qu'un seul cas d'appel à garantie. En 1999, à la suite d'inondations de type cévenol survenues en fin d'année, l'État a apporté 300 millions, car les réserves de la CCR étaient alors peu élevées. Des mesures ont ensuite été prises en 2000 avec les franchises et le relèvement de 9 % à l2 % des surprimes. L'année 2003 fut rude - sécheresse et inondations ont coûté 2,6 milliards d'euros (1,4 milliard pour la sécheresse, 1,2 milliard pour les inondations) - mais l'État n'a pas eu à intervenir, mais cela a été tangent.