Aujourd'hui, 50 % du coût est laissé au secteur privé et financé par l'activité générale des assureurs. Imaginez que l'État ait dû payer 100 % des événements naturels récents ! En outre, ce serait déresponsabilisant. Dans notre système, chacun a intérêt à ce que le risque soit bien géré pour qu'il coûte moins cher. Enfin, nous investissons à moyen et long terme, et plaçons des actifs, qui dégagent des produits financiers, lesquels contribuent à la gestion du régime.