Étant donné le préjudice subi, il n'est pas déraisonnable que l'agriculteur bénéficie d'un accompagnement comparable à celui des autres sinistrés. Il y a un seuil minimal de 35 % de la valeur vénale des sols ou du montant des travaux. Un même montant peut être utilisé pour restaurer ailleurs le potentiel de production de l'exploitation.