En l'occurrence, le capital assuré serait la valeur vénale de la terre, que nous avons reprise dans le cadre des calamités agricoles : on ne peut, en perdant un sol, perdre davantage que la valeur de la terre. Le cas que vous évoquez a été traité par le ministère et a fait l'objet d'échanges très précis. Effectivement, les travaux de remise en état ne sont pas réalisables. Nous avons donc proposé à cette personne de mobiliser le même capital pour relancer son exploitation sur d'autres terrains. Il s'agit alors de mettre en ordre les procédures.