La Réunion et la Guyane bénéficient aujourd'hui d'une aide à l'exportation via le POSEI. Ainsi, chaque fois qu'un pêcheur guyanais envoie un kilogramme de poisson en Martinique, il bénéficie de deux euros de soutien. Nous sommes aujourd'hui en train de structurer la filière en Martinique. Notre désorganisation actuelle nous rend inéligible au FEAMP. Il est indispensable que l'UE prenne conscience de nos spécificités. Si les propositions actuelles étaient adoptées, cela représenterait une régression pour la pêche ultramarine.