Des surcroîts d'effectifs en détention, cela coûte. Les politiques actuelles ne prévoient pas d'augmentation des effectifs des personnels pénitentiaires et notamment du nombre de surveillants dans les coursives. L'information, la disponibilité et l'écoute sont des clés majeures pour faire régner l'ordre public en détention. Les moyens coercitifs viennent après.
Un médecin de Liancourt a montré que la toxicomanie augmentait en prison. Il est parfaitement possible d'identifier les personnes qui introduisent la drogue. Malheureusement, pour beaucoup de surveillants, la drogue est un élément de régulation en prison. Ce sont ces conceptions qu'il faut mettre à bas.